Si vous souhaitez profiter de cette retraite supplémentaire, instaurée afin de compléter une pension de retraite perçue dans une grande partie des régimes de retraite obligatoire, il vous faut avant tout savoir certaines choses sur celle-ci. C’est pour cette raison que nous avons rédigé cet article, afin que vous en appreniez davantage sur cette solution, qui pourrait nettement améliorer vos revenus durant votre retraite.
Premièrement, sa définition
La retraite supplémentaire, que l’on peut également appeler la retraite surcomplémentaire, est une ressource financière que vous pouvez obtenir en complément de votre retraite de base. Ce type de retraite supplémentaire est facultative et ne découle pas d’organismes étatiques ni d’un syndicat. On peut la souscrire auprès d’un établissement bancaire ou d’une société d’assurance et de prévoyance. Pour plus d’informations sur la retraite supplémentaire, faites confiance à un site spécialisé dans ce domaine.
Deuxièmement, son fonctionnement
Sachez que c’est par capitalisation que fonctionne la retraite supplémentaire. Concrètement, en tant que titulaire de ce type de contrat, vous allez accumuler des cotisations sur un produit financier de votre choix, qui vous permettra, au fil du temps, de percevoir une rente viagère ou un capital. Vous pourrez donc, après avoir versé des primes régulières sur votre contrat au cours de votre carrière professionnelle, profiter de la totalité de votre capital au moment de votre départ à la retraite ou d’une rente mensuelle.
Troisièmement, son avantage
En tant que salarié, ce système va vous offrir une retraite plus confortable, mais également vous permettre de bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse. Effectivement, sachez qu’il est généralement possible de réduire vos cotisations versées chaque mois de votre revenu imposable. Néanmoins, il faut savoir que cette défiscalisation sera plus ou moins importante en fonction de votre degré d’imposition. Plus votre imposition sera élevée, plus votre défiscalisation sera importante. Toutefois, elle ne peut dépasser 10 % de vos revenus annuels.